Franky Fresh Food (groupe Willy Naessens) compte sur l’EDI

Franky Fresh Food fait partie du département FOOD du groupe Willy Naessens depuis 2007. Dans le cadre de son pilier stratégique de numérisation, une attention de plus en plus grande est accordée à l’intégration des fournisseurs via EDI pour les bons de commande, les factures et les bons de livraison. De plus, la société soeur Meat Atelier passe également à l’EDI de Descartes.

« Au cours de la dernière année, j’ai poussé de plus en plus à mettre en oeuvre l’ensemble du processus de ORDER à DESADV et INVOIC pour le plus grand nombre de nos fournisseurs possible. C’est une évolution logique dans le contexte de la digitalisation. »

Kathleen Vandeplassche, IT Manager Willy Naessens Group

Depuis 2013, l’EDI était déjà bien implanté au sein de Franky Fresh Food. Les principaux détaillants ont exigé que l’entreprise utilise l’EDI comme fournisseur. En outre, l’EDI est également utilisé pour le processus de commande depuis environ cinq ans. Kathleen Vandeplassche, responsable informatique chez Willy Naessens Food, déclare : « Au cours de l’année écoulée, j’ai poussé de plus en plus à mettre en oeuvre l’ensemble du processus de ORDER à DESADV et INVOIC pour le plus grand nombre de nos fournisseurs possible. C’est une évolution logique dans le contexte de la digitalisation.

Il n’est pas facile de trouver un bon prestataire pour déployer avec succès un projet EDI. Plutôt que le prix, il s’agit du partenariat et de la confiance. Kathleen Vandeplassche pouvait compter sur la bonne coopération existante avec Descartes. Cela s’applique également à l’extension à la société soeur Meat Atelier, qui avait également besoin d’une automatisation avec EDI.

Depuis 2013, Franky Fresh Food peut s’appuyer sur l’utilisation réussie de l’EDI pour les commandes. Cela signifiait déjà un gain de temps pour l’entreprise, une marge d’erreur réduite et des informations sans ambiguïté.
Pour la digitalisation des processus avec les fournisseurs, Franky Fresh Food s’est d’abord concentré sur les factures des marchandises. Grâce à l’EDI et aux contrôles supplémentaires intégrés, les factures sont mises en correspondance plus rapidement avec les marchandises reçues. Depuis un an, Kathleen Vandeplassche, responsable informatique du groupe Willy Naessens - Alimentation, est allée plus loin : en partie parce que Franky Fresh Food a des projets pour un nouveau centre logistique, elle souhaite également que le DESADV, le bordereau de livraison numérique, soit envoyé via EDI. Une fois que les employés maîtrisent le DESADV, il est encore plus facile de faire correspondre les factures avec les réceptions. La voie est ainsi tracée pour un fonctionnement réussi et plus efficace au sein d’un centre logistique automatisé.

Rétrospectivement, Kathleen Vandeplassche déclare : « Je sais par expérience qu’un projet EDI peut parfois être pénible. Et j’étais prudente quand j’ai commencé dans l’entreprise compte tenu des projets d’expansion de l’EDI. Mais grâce à la bonne coopération avec Descartes, je n’avais rien à craindre. Il n’était pas du tout nécessaire de changer de fournisseur. »

Même si de nombreux fournisseurs sont déjà passés à l’EDI, Kathleen Vandeplassche a encore beaucoup de travail à faire. L’intégration des fournisseurs restants prend encore environ la moitié de son temps. D’autre part, elle constate désormais une demande en forte croissance de la part des clients pour l’utilisation de l’EDI pour la facturation. Cela concerne principalement les grandes chaînes avec un ERP qui voient les avantages de l’EDI.

Pour l’introduction de l’EDI dans la société soeur Meat Atelier, Kathleen Vandeplassche a également choisi de travailler avec Descartes. Parce que les messages, les paramètres et l’utilisation de la plate-forme étaient familiers, le choix de Descartes comme fournisseur était évident.

En guise de conseil pour un projet EDI réussi, Kathleen Vandeplassche souligne qu’elle passe de bons accords avec les entreprises dès le début pour les intégrer à l’ensemble du processus entrant et sortant. Parfois, les entreprises ne voient pas les avantages des deux côtés du processus ou ne les considèrent pas pertinents, mais le retour des messages via EDI facilite également l’opération de la part de Franky Fresh Food.

Le choix d’un fournisseur n’est certainement pas seulement une question de prix, mais de coopération et de fiabilité. Pour Kathleen Vandeplassche, la bonne coopération dans la confiance reflète le « déchargement » que Descartes met en avant dans la mise en oeuvre et le suivi des projets EDI.

Gain de temps - grâce à l’EDI, moins de vérifications et de corrections, et une charge administrative réduite.

Taux d'erreur plus faible - l’automatisation signifie moins d’interventions manuelles et donc moins de risques d’erreurs.

Coûts de traitement réduits - moins de manipulations manuelles, moins de papier et moins d'actions correctives réduisent les coûts et réduisent l'empreinte environnementale.

Normalisation - GS1 garantit un échange de données sans ambiguïté.